Grand Est, FRANCE, le 11 janvier 2024, le Bothrops venezuelensis.
De : Sébastien KENNEL

Bothrops venezuelensis : Trigonocéphale du Venezuela
Source d’origne : Luis Olarte

La description du Bothrops venezuelensis

Il s’agit d’un Bothrops terricole ayant ainsi des couleurs terrestres pour bien se camoufler dans son environnement. C’est aussi une espèce qui a la capacité d’envenimation, ce qui fait de lui un serpent venimeux.

Ensuite, ce reptile possède deux fossettes thermosensibles. Ce qui va lui permette de détecter les proies endothermes (à sang chaud) en pleine obscurité. Cette capacité fait de lui un crotale qui fait partie de la sous-famille des Crotalinae. Dans ce groupe, il y a aussi les genres tels que les Bothriechis, les Bothrocophias ou bien encore les Trimeresurus.

Puis, il fait aussi partie de la famille des Viperidae, même si ce n’est pas une « vraie » vipère. Ainsi, il est plus ou moins proche des Atheris, des Cerastes ou bien encore de Vipera.

Enfin, il y a eu la description de ce reptile en 1 952 par le scientifique Fernando Sandner-Montilla.

La taxonomie

Concernant ce taxon, la taxonomie a très peu changé avec le temps. C’est Sandner-Montilla qui renomme le taxon lui-même en 1 961 avec Alfred Sherwood Romer. Sous le nom de Bothrops pifanoi. Puis quelque temps, plus tard, il renomme de nouveau l’espèce en Bothrops venezuelae.

Enfin, en 1 994, il y a de nouveau le renommage de l’espèce avec le nom actuel. C’était par l’homme de science Kenneth R. G. Welch. Par la suite, les hommes de sciences suivants ont toujours gardé ce nom.

L’aire de répartition du Bothrops venezuelensis

C’est un reptile que vous trouvez uniquement en Amérique du Sud. Il est présent au nord du Venezuela et sur une petite zone au nord-est de la Colombie. Selon la carte de la liste rouge de l’IUCN.

Aire de répartition du Bothrops venezuelensis
Source d’origne : la liste rouge de l’IUCN

Le Bothrops venezuelensis dans un milieu naturel

Edwin Mora vous présente un Bothrops venezuelensis dans son milieu naturel :

Merci à Edwin Mora.

PS : bravo, maintenant, vous en savez beaucoup sur le Bothrops venezuelensis.

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