Grand Est, FRANCE, le 8 janvier 2024, le Bothrops osbornei.
De : Sébastien KENNEL

Bothrops osbornei : Trigonocéphale de l’Équateur ou Trigonocéphale d’Osborne
Source d’origne : angel1668

La description du Bothrops osbornei

C’est une espèce de Bothrops qui a des couleurs plutôt claires avec du jaune et beige. Il est aussi un reptile qui possède la capacité d’envenimation, ce qui fait de lui un serpent venimeux.

Ensuite, une autre de ses capacités est ses fossettes thermosensibles qui se trouvent entre ses narines et ses yeux. Grâce à elle, il a la capacité de pouvoir détecter les proies endothermes (à sang chaud) en pleine obscurité.

Cette dernière capacité fait de lui un crotale qui fait ainsi partie de la famille des Crotalinae. D’autres genres du groupe sont les Bothriechis, les Bothrocophias ou bien encore les Trimeresurus. En outre, il fait aussi partie de la famille des Viperidae, même si ce n’est pas une « vraie » vipère.

Ce qui le rapproche plus ou moins des Atheris, des Cerastes ou bien encore des Vipera.

Enfin, il y a eu sa description en 1 991 par le scientifique Antonio Freire-Lascano.

La taxonomie

Celle-ci n’a pas encore eux de changement. Les scientifiques ont toujours gardé pour le moment le même nom pour ce taxon.

L’aire de répartition du Bothrops osbornei

Cette espèce de reptile se trouve uniquement en Amérique du Sud. Elle est présente dans deux pays qui se trouvent au nord-ouest. Le premier pays est l’Équateur, qui comporte la plus grande air de répartition de celui-ci. Et le second pays est le Pérou.

En Équateur, il est seulement présent sur la partie nord du pays, longeant les montagnes. Il est malheureusement plus présent dans le sud du pays. Et au Pérou, il est seulement présent sur une toute petite zone à l’ouest au niveau des montagnes. Selon la carte de la liste rouge de l’IUCN.

Aire de répartition du Bothrops osbornei
Source d’origne : la liste rouge de l’IUCN

Le Bothrops osbornei dans un milieu naturel

Mark Dorriesfield vous présente un Bothrops osbornei dans son milieu naturel :

Merci à Mark Dorriesfield.

PS : bravo, maintenant, vous en savez beaucoup sur le Bothrops osbornei.

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