Grand Est, FRANCE, le 24 septembre 2023, l’Atheris hetfieldi.
De : Sébastien KENNEL
La description de l’Atheris hetfieldi
C’est une « vraie » vipère arboricole africaine qui est actuellement en danger d’extinction. Auquel les scientifiques qui l’ont décrit ont donné à ce serpent le nom d’un chanteur connu au États-Unis. Afin de susciter l’intérêt pour cette espèce.
Mise à part cela, elle ne possède pas de fossettes thermosensibles. Comme c’est le cas pour les genres Trimeresurus, Bothrops ou bien encore Bothriechis. Ainsi, elle fait partie de la sous-famille des Viperinae. Comme c’est le cas pour les Cerastes, les Pseudocerastes ou bien encore les Echis.
Puis, elle fait partie de la famille des Viperidae, comme c’est le cas d’ailleurs de tous les Atheris.
Enfin, il y a eu sa description en 2020. C’était par les hommes de science Luis Miguel Pires Ceríaco et al.. Ensuite, Ceríaco est un biologiste et un historien des sciences Portugais.
La taxonomie
Connaître la taxonomie vous permet d’en apprendre davantage. Et puis dans le cas ici, c’est intéressant, parce qu’il y avait déjà sa connaissance avant sa description. En effet, elle était par deux fois un synonyme de deux autres espèces d’Atheris.
La première fois, c’était en 1 961 par la scientifique Lilia Orsini Capocaccia. Qui l’avait considéré comme une sous-espèce de l’Atheris squamigera. Puis, elle portait à cette époque le nom d’Atheris squamigera squamigera.
Lilia Orsini Capocaccia est d’origine italienne.
Puis, la seconde fois, c’était en 1965 par le scientifique Robert Friedrich Wilhelm Mertens. Qui l’avait considéré comme un Atheris chlorechis.
Mertens était un Allemand né le 1er décembre 1 894 à Saint-Pétersbourg. Et il est mort le 23 août 1 975 à Francfort-sur-le-Main. Enfin, il avait pour activité la zoologie et l’herpétologie.
L’aire de répartition de l’Atheris hetfieldi
Cet Atheris se trouve sur l’île de Bioko. L’île de Bioko est une île appartenant à la Guinée-Équatoriale. Qui elle se trouve entre le Cameroun et le Gabon, soit en Afrique centrale.
Pour y voir plus clair voici une carte basée sur le principe de la liste rouge de l’IUCN :
PS : bravo, maintenant, vous en savez beaucoup sur l‘Atheris hetfieldi.