Stop ! N'achetez pas de Morelia viridis / azurea où il risque de mourir !

Grand Est, FRANCE, le 15 septembre 2023, l’Atheris anisolepis.
De : Sébastien KENNEL

Atheris anisolepis - Vipère des buissons du Mayombe
Source d’origne : inconnue

La description de l’Atheris anisolepis

C’est une ancienne sous-espèce de l’Atheris squamigera. Il y a aussi sa connaissance sous le nom d‘Atheris laeviceps. Comme tous les Atheris, elle ne possède pas de fossettes thermosensibles, contrairement aux Bothrops, Trimeresurus, etc.

Ainsi, cette vipère fait partie de la sous-famille des Viperinae qui elle fait partie de la famille des Viperidae. Comme c’est le cas pour les Cerastes, les Pseudocerastes ou bien encore les Echis.

Puis, concernant sa description, il y a eu sa réalisation par François Mocquard en 1 887. Mocquard est un Français qui avait pour passion l’herpétologie, la zoologie et la taxonomie. Puis, celui-ci est né le 27 octobre 1 834, à Leffonds soit en Haute-Saône. Et il est mort le 19 mars 1 917 en Bourgogne-Franche-Comté.

La taxonomie de 1 887 à 1 940

Cette espèce a eu un conflit dans sa taxonomie dès le départ. Parce qu’il y a eu la description de celle-ci la même année par deux scientifiques différents. En effet, Oskar Boettger l’avait aussi décrite en 1 887, mais sous le nom d‘Atheris laeviceps.

Boettger est un Allemand qui est né le 31 mars 1 844 à Francfort-sur-le-Main. Puis, il est mort le 25 septembre 1 910 à Francfort-sur-le-Main. Enfin, il s’agissait entre autres d’un zoologiste, un herpétologiste, un malacologiste et un entomologiste.

Puis en 1896, le scientifique George Albert Boulenger plaça l’espèce comme un synonyme de l’Atheris squamigera.

Boulenger passait son temps dans les domaines de la botanie, de l’herpétologie, de la zoologie et de l’ichtyologie. Enfin, il est né le 19 octobre 1 858 dans la ville de Bruxelles en Belgique. Et il est mort le 23 novembre 1 937 à Saint-Malo.

Ensuite, K. P. Schmidt, en 1923, décida de suivre Boettger en nommant de nouveau l’espèce Atheris laeviceps.

Puis en 1940, Charles Mitchill Bogert décida de prendre une autre direction. Et il nomma l’espèce comme une sous-espèce de l’Atheris squamigera. Ainsi, il y a la nomination de l’espèce comme Atheris squamigera anisolepis.

Bogert est né le 4 juin 1 908 et il est mort le 10 avril 1 992. C’était un herpétologiste américain.

La taxonomie de 1 995 à nos jours

Ensuite, en 1 995, Jean-Francois trape et Rolande Roux-estève revienne sur le nom d’Atheris laeviceps. Et Jean-Francois trape soutient encore cet avis en 2 020 avec Marcel Collet. Trape est un Français né en 1 949.

Enfin, le nom d’Atheris anisolepis est revenu et maintenu depuis 1 998. C’est le scientifique Donald George Broadley qui a repris le nom. Broadley était un Britannique né le 29 mai 1 932 à Stanford. Puis, il est mort le 10 mars 2 016. Enfin, ses activités préférés était le botaniste, l’herpétologiste et l’entomologiste.

L’aire de répartition de l’Atheris anisolepis

Ce serpent a une petite aire de répartition qui se trouve en Afrique. Il est présent en République démocratique du Congo. Ainsi qu’au Congo et au Gabon. Enfin, il est possiblement présent en Angola. Selon les informations de la liste rouge de l’IUCN.

Aire de répartition de l'Atheris anisolepis
Source d’origine : la liste rouge de l’IUCN

PS : bravo, maintenant, vous en savez beaucoup sur l‘Atheris anisolepis.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *